Le moment venu
| Quête requise | Quête débloquée |
|---|---|
| Objet crucial | Pas d'adieu |
(ID : 424554 )
Sommaire
Résumé de la quête
Récupérez l'Épée longue et légère auprès de Fesloh Tadarn et apportez-la à Kurtis. Il doit être en train de s'entraîner dans le parc où je fais le recrutement.
Déroulement de la quête
- Niveau de la quête : 69
- Niveau minimum pour l'activer : 67
- Niveau maximum pour voir la quête : 79
Activation de la quête
- Krugor Gare - Baie de Tergothen - Royaume de Lechif - Coordonnées (40 ; 74,5)
Validation de la quête
- Kurtis - Baie de Tergothen - Royaume de Lechif - Coordonnées (39,4 ; 54,5)
- Objet requis pour rendre la quête
Étapes de la quête
- Obtention de l'Épée longue et légère ×1 :
- Parler à Fesloh Tadarn au Royaume de Lechif aux coordonnées (39.4 ; 50.4) et choisir l'option "Je vais m'en servir pour fabriquer une Épée longue et légère"
Récompenses
- Or : 5.771
- Expérience : 1.366.777
- PTA : 136.677
Dialogues
Prise de la quête
Je ne pensais pas que ce jour arriverait si vite. Mais... C'est bien... Au moins, nous avons récupéré les objets. Plus le moment se rapproche, plus je suis triste de m'en aller...
Mais c'est comme ça. L'Épée longue et légère pour laquelle je vous ai demandé votre aide est enfin forgée. Pourriez-vous donner ces objets à Kurtis de ma part ? Ils viennent de Fesloh Tadarn. Cette épée longue a été forgée spécialement pour Kurtis, en récompense de son année d'apprentissage de l'art de l'épée. Pendant cette année, je lui ai appris beaucoup de techniques de combat. Il est assez fort, mais... tout bon épéiste se doit d'avoir une épée solide !
J'ai à faire, je ne peux donc pas la lui remettre moi-même. Il faut le faire maintenant. S'il vous plaît, rendez-moi service, donnez-la-lui, voulez-vous ?
Quête en cours
Mon maître m'a toujours dit que je mettrai le temps qu'il faut mais qu'un jour, je serai plus fort que lui. Pourtant, j'ai l'impression que je n'arriverai jamais à le battre.
Quête complétée
J'ai beau avoir reçu un magnifique cadeau, je ne me sens pas plus heureux pour autant. C'est comme pour le collier...
Mon père m'avait dit qu'il était précieux et que je devais le garder auprès de moi. Mais ce n'est pas de sa valeur réelle qu'il voulait parler, c'est du souvenir qu'il représentait. C'est cela qui le rend si important...
J'ai l'impression que... Mon maître songerait-il à s'en aller ? Cela expliquerait pourquoi il m'a fait ce si beau cadeau... C'est comme quand mon père et ma mère m'ont abandonné... Ils m'ont donné le collier sans me dire au revoir.
